Nulle mieux que Barbara, chansonnière française aujourd’hui décédée, ne pouvait mieux définir dans sa chanson intitulée " Mon enfance ", ce qui fait le charme et les affres de… l’enfance justement. Avec d’un côté le souvenir de l’innocence et de tous les plaisirs, bien-être, qui y étaient liés. De l’autre, les peurs fantasmées (des araignées par exemple !), traumatismes bien réels imposés, ou encore « bêtises », voire actes de cruauté commis… En somme, tout ce qui quand on y repense, inscrit chacun dans une histoire ni blanche ni noire qui lui est propre mais aussi dans ce qui relève de la condition humaine en général.
Durant deux semestres, c’est donc sur ce thème de l’enfance que des étudiants francfortois ont travaillé suivant 9 chapitres qui ont été à chaque fois introduits par des textes d’auteurs ou d’anonymes français qu’ils ont analysés:
L'incipite d'Enfance de Nathalie Sarraute naturellement: Je me souviens, de Georges Pérec, 1978; Histoire de mon prénom, anonyme; Le voile noir et la photo du père d’Anny Duperey, 1992 etc...